Je n'oublierai jamais la première fois où j'ai rencontré Thomas. C'était un matin ordinaire à l'auto-école, une de ces journées où la routine prend facilement le dessus. J'avais consulté mon planning en début de matinée, sans trop y prêter attention : cours de conduite, cours de conduite… et un nouvel élève, Thomas, 19 ans. Il faut vous dire que du haut de mes 43 ans je dirige avec passion cette auto école depuis une dizaine d’années avec mon mari.
Je me prénomme Sabine, une blonde bien sexy apprêtée avec vulgarité car ma passion est d’affoler les jeunes élèves en les « croquant tout crus» ou plutôt dépuceler comme disent mes copines « quinquas » avec la plus grande des jalousies.
Quand il est entré, j'ai été frappée par son assurance, un contraste avec l’habituelle nervosité des apprentis conducteurs. Il avait ce regard à la fois curieux et tranquille, un mélange rare pour quelqu'un qui s'apprêtait à apprendre à conduire :
« Bonjour, je suis Thomas, » m’a-t-il dit en souriant.
« Enchantée, Thomas. Moi c'est Sabine. Tu te sens prêt pour ta première leçon ? » lui ai-je répondu, souriante.
« Absolument. » Il semblait sûr de lui, presque impatient. J'étais légèrement surprise, mais aussi amusée. Beaucoup de mes élèves du même âge étaient nerveux, hésitants, mais lui semblait parfaitement à l’aise.
Nous avons commencé les premières leçons, tout à fait normales, alternant entre petits trajets et explications théoriques. Thomas écoutait attentivement, posait des questions pertinentes, et progressait vite. Mais ce n’était pas seulement son sens de la conduite qui attirait mon attention. Il avait cette façon de me regarder, un regard qui semblait un peu plus appuyé à chaque leçon. Et de mon côté, j’avais du mal à ne pas le remarquer et cela me faisait frissonner de la nuque jusque dans le bas de mon dos.
Au fil des semaines, quelque chose avait changé dans l’air. Nos discussions, au départ centrées sur la conduite, s’étaient élargies. On parlait de musique, de cinéma, de nos vies. Il avait une maturité surprenante pour son âge même si il gardait un physique de post adolescent, et j’appréciais de plus en plus nos échanges.
Un jour, en milieu de parcours, alors qu’il se concentrait sur la route, il m’a demandé d’un air détendu :
« Sabine, ça fait longtemps que vous êtes monitrice ? »
J’ai souri, amusée par le tutoiement qu’il avait glissé naturellement :
« Plusieurs années maintenant, et j’adore ça. Je rencontre des gens, j’apprends de chacun de mes élèves. »
Il a hoché la tête, un sourire aux lèvres :
« Vous semblez vraiment passionnée. C’est rare, je trouve » Puis il sembla hésiter quelques secondes avant de déclamer d’une seule traite d’une voix légèrement gênée :
« En même temps vous m’excitez terriblement, c’est affreux, j’ai le gourdin chaque fois que je monte dans à vos coté dans cette voiture pour ma leçon de conduite, et donc dès que je rentre chez moi je suis obligé de me palucher et je ne tiens pas longtemps car je vous imagine en bombe devant moi, c’est radical »
J’ai senti une chaleur douce m’envahir. Il y avait quelque chose de spécial dans son ton, une sincérité animale et très érotique qui me fit du bien. Je sentis un énorme frisson me parcourir comme une connexion plus forte que celle pouvant existe entre une monitrice et son élève.
En réponse je remontais ma mini jupe en écartant la fine dentelle jaune de mon string et entrepris de décapuchonner mon clitoris en feu. Sure de moi en le regardant dans les yeux je lui lançais d’une voix suave :
« Pourquoi attendre d’être chez toi pour te faire gicler, on va se finir de suite ensemble ça nous enlèvera la pression, tourne à droite dans l’impasse après le stop, c’est discret et d’un calme olympien ».
Il s’exécuta sans piper mot, tira le frein à main, baissa son jogging puis son caleçon et sorti un sexe pas très long mais terriblement épais. Bien qu’étant déjà raide comme du bois, il éprouva le besoin de tirer sur la peau pour me montrer son gland tout engorgé de plaisir.
Je lui dis :
« On se caresse en même temps et le premier qui vient le dis à l’autre, ok ? »
Il acquiesça de la tête en fixant d’un regard trouble ma fente crémeuse. De mon côté la pression étant trop forte je lui dis d’une voix gourmande :
« Je compte jusqu’à 5 et on envoie la sauce ensemble, ok ? »
Il lança un grognement pour donner son accord, à 2 secondes de la fin j’écartais volontairement mes lèvres pour lui montrer mon intimité congestionnée. Cette vision le fit craquer immédiatement et un jet de crème blanche jaillit de l’extrémité de sa tige pour s’écraser sur son caleçon. Cela me fit jouir immédiatement, je du mettre ma main devant ma bouche pour ne pas ameuter le quartier.
Tandis qu’il détachait quelques feuilles du rouleau de Sopalin que je gardais toujours dans la voiture pour ces occasions, il me dit :
« Je n’oublierais jamais cet instant la, tu peux en être sure ! »
« Moi non plus Thomas » lui répondis-je, « Mais nous devons nous presser maintenant j’ai un autre cours en suivant dans 10 minutes ».
Les leçons suivantes, cette connexion s'est intensifiée. Nous échangions des regards plus longs, des sourires discrets. Il y avait cette tension entre nous, puissante et très présente. J’essayais de rester professionnelle, bien sûr, mais parfois, dans cette petite voiture, je sentais mon cœur battre plus fort.
Un après-midi, alors qu’il faisait un soleil éclatant, Thomas avait pris le volant pour une séance d’autoroute. Le trajet était long, et en cours de route, nous avons commencé à parler de nos vies amoureuses, un sujet que j’aurais normalement évité.
Mais ce jour-là, tout semblait naturel. Je connaissais ce trajet, je m’étais donc bien préparé le matin pour du cul. Mon entre-jambe était fraichement rasée et parfumée. J’avais enfilé des dessous en dentelle transparent jaune fleurie.
« Et toi, tu es en couple ? » lui ai-je demandé, sans trop réfléchir.
Il a secoué la tête en riant doucement :
« Non, je suis célibataire. Disons que je n’ai pas encore trouvé quelqu’un qui me fasse vraiment vibrer. Et puis les filles de mon âge sont sans relief, pas comme..»
Ses yeux se sont posés sur moi un instant comme il finissait sa phrase en suspend et j’ai senti mes joues s’empourprer légèrement. Il y avait une honnêteté dans son regard, et je savais qu’il ne cherchait pas à me faire un compliment facile. Mais l’échange nous a tous les deux laissés dans un silence où la tension s’était encore accrue.
Nous avons continué la leçon, mais je sentais que quelque chose avait changé entre nous. Chaque sourire, chaque regard, chaque geste prenait une toute autre signification. C’était grisant, et troublant à la fois.
Une des dernières leçons approchait, et Thomas semblait particulièrement heureux.
« Je pense que je commence vraiment à m’améliorer grâce à toi, Sabine, » a-t-il dit avec un sourire.
« Tu te débrouilles très bien, vraiment, » ai-je répondu en souriant, touchée par sa remarque et je rajoutais « Mais il te manque encore une dernière leçon pour le test finale ».
Et puis, après quelques minutes de silence, il a dit, avec une certaine hésitation dans la voix, mêlée d’excitation :
« On peut la faire maintenant cette leçon ? » dit-il en portant sa main sur son sexe comme si il avait compris le message.
Sa phrase m’a surprise, mais elle m’a aussi touchée :
« Mais bien sûr, j’ai bien moi aussi envie de boucler en beauté ton apprentissage, Thomas. Et je suis certaine que tu es quelqu’un de très doué »
Il m’a regardée, cette fois sans détourner les yeux :
« Tu sais, Sabine… depuis ma première leçon, j’ai envie de te baiser le petit trou, peut-être ai-je tort de t’avouer cela de façon si directe mais pour être tout à fais franc, je n’ai jamais rentré ma pine dans une rosette féminine ».
J’ai pris une grande inspiration. Sa franchise m’a prise de court, mais elle m’a aussi rassurée.
« Oui, avec plaisir, c’est mon entrée favorite et par chance je me suis rasée de près ce matin même, tu vas apprécier la douceur quand tu vas passer ta langue dessus » ai-je murmuré, sans oser le regarder. Et je rajoutais d’une voix pressée « Gare toi vite, j’en peux plus je commence à mouiller du cul, il faut que tu me l’enfile de suite ! »
Obéissant à mon ordre, Thomas s’arrêta au bord d’un petit chemin tranquille, à l’écart de la circulation, et coupa le moteur. Le silence s’est installé autour de nous, et dans cette petite voiture, il semblait presque assourdissant. Il s’est tourné vers moi, son regard plongé dans le mien, et j’ai senti une vague de chaleur m’envahir.
« Sabine… » Sa voix était douce, presque hésitante.
Sans réfléchir, j’ai approché ma main entre ses jambes effleurant son sexe à travers le jogging, mes doigts effleurant doucement son membre gonflé de désir. Il a fermé les yeux un instant, comme pour savourer ce contact, puis a ouvert les yeux, son regard brûlant d’une intensité qui m’a fait frissonner.
« Vite ça urge, je vais me mettre en bombe sur le siège arrière, et tu vas me casser le fion … » ai-je murmuré, plus pour la forme que par réelle volonté de m’arrêter.
« Mais grave » a-t-il murmuré en retour, ses lèvres s’approchant des miennes, « mais je ne sais pas si je vais tenir longtemps, j’ai les balloches en fusion.» dit il en ouvrant la portière pour sortir.
Et là, sans plus réfléchir, j’ai sauté d’un bond sur le siège arrière en remontant ma robe pour découvrir mon cul et l’offrir en pâture à mon jeune apprenti. J’écartais prestement le string de ma raie toute lisse et lui dit en me retournant à peine :
« Viens me lubrifier la rose pour éteindre l’incendie et pas de chichi enfonce ton mandrin direct ça va rentrer comme dans de la marmelade. »
Il frotta rapidement son gland sur mon entrée arrière puis d’un coup poussa pour faire rentrer son chibre qui disparu dans mon intérieur, immédiatement le monde autour de nous a disparu. Cette pénétration était douce, intense, un mélange de désir et de douceur que je n’avais pas anticipé. Ses mains ont glissé sur mes fesses, puis entre mes jambes, pour me titiller le bouton qui gonfla immédiatement en osmose avec les coups de boutoir de Thomas.
La voiture semblait vivante secouée par des mouvements de va et vient, mais en même temps, c’était comme si elle devenait notre propre univers. Les mouvements se sont intensifiés, ses doigts caressant tout le long de ma fente ruisselante de jus me faisant comprendre que ma jouissance était proche. L’orgasme arriva terriblement soudain et intense, je poussais un cri animal en même temps que je sentis le sexe de Thomas gonfler dans mon fondement accompagné d’un puissant jet épais inonder l’intérieur de mon conduit.
Nous sommes restés ainsi un long moment, à profiter de cette intimité partagée, savourant chaque baiser, chaque geste, chaque regard. Tout était parfait, naturel, comme si cela avait toujours dû arriver.
Quand nous avons finalement repris nos esprits, nous sommes restés silencieux, un sourire complice aux lèvres. Il a caressé doucement ma main, comme pour prolonger ce moment un peu plus.
« Merci pour cette leçon, Sabine, » a-t-il murmuré en souriant.
J’ai éclaté de rire, amusée.
« Ce n’est pas exactement au programme de l’auto-école, tu sais ? »
« Peut-être pas, mais c’est la meilleure leçon que j’aie eue, » a-t-il ajouté, le regard pétillant.
Ce moment est resté gravé dans ma mémoire comme une parenthèse, un instant de douceur que rien ne pourrait effacer. C’était une simple rencontre, mais elle m’avait fait me sentir vivante, m’avait offert une connexion que je n’oublierais jamais.